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Le crypto-jacking ou quand votre ordinateur mine de la cryptomonnaie à votre insu
Dans le monde de la cryptomonnaie, les derniers mois ont été marqués par une actualité des plus frénétiques et des fluctuations assez intenses. En cause, la traversée d’une bulle spéculative qui n’en finit plus mais peut-être également la crainte d’une régulation par les gouvernements. C’est en partie pour ces raisons que la valeur du bitcoin (BTC) a chuté de façon spectaculaire – par exemple, entre le 17 décembre et février dernier, elle est passée de 25k$CA à un peu plus de 10k$CA. Au-delà des défis techniques que ces monnaies acéphales mettent sur la table, ces fluctuations en termes de parité de change ont probablement joué un rôle plus que déterminant sur la recrudescence des tentatives de piratage, de vols de portefeuilles virtuels et de données personnelles et autres actions frauduleuses. Si l’on s’en tient aux prévisions de certains professionnels du milieu, la liste des gros coups devrait s'alourdir. Ce début d’année a notamment été marqué par le vol record de 60 millions de dollars en bitcoin chez Nicehash, l’agression de ce couple britannique pour son portefeuille virtuel, ou encore Coincheck qui aurait subit un vol encore plus sévère que celui qu’avait subit Mt. Gox en 2014. Avec un BTC qui pourrait remonter et atteindre 60K$ dans l’année, la question de la sécurité vis-à-vis d’un tel investissement représente forcément une problématique bien pesante, si bien que les activités de minage pourraient elles aussi en pâtir. Cependant, avec un minimum de bon sens et de précaution, les dangers peuvent être minimes. Le minage c’est quoi ? À l'instar de la monnaie fiduciaire qui traîne dans nos poches grâce à une banque centrale émettant pièces et billets, les cryptomonnaies se présentent quant à elles sous un aspect immatériel. Elles transitent à travers le réseau, sécurisées par des suites de chiffres et de lettres, appelées hash. Pour créer ces devises virtuelles, en assurer leur sécurité et leur bon fonctionnement, des ordinateurs sont mis à disposition du processus de minage via des logiciels permettant de se connecter à un Poolet donc d’exploiter la puissance de plusieurs machines à la fois. Les processeurs calculent sans relâche 24/7 pour s’assurer de la pérennité de la monnaie. Les transactions (les blocs) sont alors correctement retranscrites et enregistrées sur la « chaîne de bloc », un registre ouvert à tousqui renferme toutes les transactions... Et un vrai cauchemar pour les institutions financières et les gouvernements. La contribution des mineurs, c’est-à-dire la puissance de calcul que leurs machines offrent au réseau, est récompensée en cryptomonnaie. Ces bénéfices viennent s’ajouter jour après jour à la masse déjà en circulation. Cette activité est très rarement effectuée en solo car elle est très coûteuse en énergie et peu rentable. Ce sont plutôt des coopératives (pool) ou des fermes qui s’en chargent. L’union fait la force, et dans ce cas précis, elle multiplie la puissance et le Hashrate, autrement dit la rapidité de calcul et donc...plus de calculs = plus de blocs retranscrits = plus de profit. ¯\_(ツ)_/¯ Le hacking n’épargne pas le mining Bien évidemment, cette activité présente des failles et des opportunités d’agir à l’encontre de n'importe quel individu honnête dont l’ordinateur est connecté. En effet, il est de plus en plus fréquent de voir le CPU (processeur) d’un ordinateur “pris en otage” dans le seul le but de miner à l’insu de l’internaute, à l’aide de Coinhivepar exemple. Ce script simple comme bonjour mine du Monero (une des multiples cryptomonnaies) ni vu ni connu. Si votre machine lague x 1000 et que votre facture d'électricité est anormalement élevée, il se peut que vous soyez en train de créer de la cryptomonnaie sans le savoir -et malheureusement, vous ne verrez pas la couleur d’un seul fragment des BTC que votre ordinateur est en train de générer. En 2018, selon les prédictions d’une poignée d’experts, cette tendance à “emprunter” des CPUs devrait être revue à la hausse. On pourrait même, après Youtube, The Pirate Bay et une multitude de sites gouvernementaux, voir s’élargir l’éventail de vitrines et plateformes utilisées pour agir. Enfin, à l’heure actuelle aucun navigateur n’offre de protection contre ce genre de pratique, mais il existe cependant des solutions telles que l'extensionNo Script pour Chrome, Firefox et Opera, ou encore ces bons vieux bloqueurs de pub que sont 1Blocker, uBlock Origin et Adblock Plus. Avec ça aucun stress: il y a très peu de chance que l’on puisse s’enrichir sur votre dos. Petit lexique utile via bitcoin.org : Hash : L'un des maillons essentiels à la sécurité du BTC repose sur la fonction de hashage SHA 256. Il s'agit d'une fonction mathématique qui, à partir d'une somme d'informations (mots, chiffres, caractères ... ), détermine une empreinte unique Cette empreinte est appelée hash. Chaîne de bloc : La chaîne de blocs est un journal public de toutes les transactions classées par ordre chronologique. Elle est partagée entre tous les utilisateurs du réseau Bitcoin. Elle est utilisée pour vérifier la permanence des transactions Bitcoin et empêcher la double dépense. Bloc : Un bloc est un enregistrement dans la chaîne de blocs qui contient et confirme plusieurs transactions en attente. Toutes les 10 minutes, en moyenne, un nouveau bloc contenant des transactions est ajouté à la chaîne de blocs par le minage.9,4 kVues2likes0CommentaireCryptojacking – When your computer mines cryptocurrency without your knowledge
In the past few months, we’ve seen a lot of news about cryptocurrency, including harried headlines about extreme fluctuations. All this can be attributed to an unending speculative bubble and possibly also the fear of government regulation. This partially explains why bitcoin’s value took such a spectacular plunge, falling from CA$25,000 to just over CA$10,000 between December 17 and today. Beyond the technical challenges that these headless currencies bring to the table, the fluctuations in exchange rate parity likely played a key role in the resurgence of attempted pirating, theft of digital wallets and personal data, and other fraudulent acts. If we’re to believe the predictions of certain industry leaders, more major heists could be coming. So far this year, we’ve already witnessed the record theft of $60 million in bitcoin from NiceHash, a violent attack on a British couple for their virtual wallet, and Coincheck reporting more stolen assets than MtGox did in 2014. Given that bitcoin could recover and hit $60,000 sometime this year, security has become a big issue for this type of investment and for cryptocoin mining as well. However, with a little common sense and caution, the risk is minimal. What is mining? Unlike the coins and banknotes we carry in our pockets, which are issued by central banks, cryptocurrencies are virtual. They can be transferred across the network and are secured by alphanumeric strings called “hash.” To create virtual currencies, protect them and keep them functional, the mining process uses software that connects computers to a mining pool, making it possible to leverage the power of several devices at the same time. The processors work 24/7 to keep the currency going. The transactions (blocks) are then correctly added and recorded on the blockchain, which is a public documentthat lists all transactions—and it’s also a real headache for financial institutions and governments. Miners contribute their computers’ processing power to the network and are paid in cryptocurrency. Day after day, these profits add to the amounts already in circulation. Mining is rarely done alone because it uses a lot of power and is not very profitable. Instead, pools or farms do most of the work. There is power in numbers, and in mining it increases both the processing power and speed (i.e. hash rate). More calculations = more blocks added = more profits. ¯\_(ツ)_/¯ When hackers target miners Clearly, mining isn’t totally safe and provides an opportunity to attack honest individuals whose computers are connected. In fact, it is becoming increasingly common for the CPU (processer) of a computer to be “taken hostage” so that it can be used for mining, without the computer’s owner even knowing about it. For instance, this can be done with Coinhive. This simple script discreetly mines Monero (one of the many forms of crypocurrencies out there). You’d never even know it was there. If your computer lags x 1000 and your electricity bill skyrockets, you might inadvertently be making cryptocurrency. And the worst part is that you won’t see any of the bitcoins that your computer is generating. According to a handful of experts, we can expect this CPU-borrowing trend to increase in 2018. After Youtube, The Pirate Bay and several government sites, we could even see a broader range of websites and platforms used for cryptocurrency mining. Currently, none of the available browsers offers protection against this type of activity, but there are solutions like No Script extension for Chrome, Firefox and Opera. You can also turn to traditional ad blocking services like 1Blocker, uBlock Origin and Adblock Plus. These can help relieve stress, since they minimize the chances that someone will get rich off your back. Helpful definitions courtesy of bitcoin.org: Hash: One of the essential components of BTC security is the SHA 256 hash function. It’s a mathematical function that uses a compilation of data (words, numbers, characters) to create a unique output value called a “hash.” Block chain: The block chain is apublic record of Bitcoin transactionsin chronological order. The block chain is shared between all Bitcoin users. It is used to verify the permanence of Bitcoin transactions and to preventdouble spending. Block: A block is arecord in the block chain that contains and confirms many waiting transactions. Roughly every 10 minutes, on average, a new block including transactions is appended to theblock chainthroughmining.5,8 kVues0like1CommentaireWhat’s the right audio app for you?
While the status of traditional on-air radio is increasingly precarious, each day brings new applications and other online platforms designed for sharing audio content. New alternatives to FM radio are not only broadening the variety of content that’s offered and the ways in which it’s made available, they’re also increasingly efficient. They emphasize a unique user experience, whether you use a mobile app or an interface on your PC. In addition to the abundance of options available to your ears, these platforms have given rise to new ways of consuming audio content that are more intuitive and personalized. Using public transit, working out at the gym, chilling before bedtime or struggling with an Excel sheet for a whole afternoon—each situation warrants a certain type of content. And more often than not, specific content justifies the use of a specific interface. It’s never been so easy to access such a wide range of content, whether it’s your favourite singer’s new album, the story of Napoleon’s reign, a sunny playlist to help you forget the winter or the secrets of the salmon ricotta pie that will make you the official Ricardo of your group of friends. All you need to know is what you want and where to look. The entire world’s music and knowledge, from the most mainstream to the most arcane, are available in just two taps of the screen. The only prerequisites are a smart phone, earphones and an application you can download for a couple of bucks (if it isn’t free). The possibilities for streaming music are endless! There are currently hundreds of music streaming platforms, and although they might—almost—all seem identical when you just want to listen to some tunes, some have a stronger appeal than others and offer unique features or benefits. These can include: catalogue size and diversity possibility of uploading your own music option to pay through your mobile service package “family” subscription (same subscription, several accounts) superior sound quality (FLAC or MP3, 160 or 320 kbps) Ultimately, these details (along with an app’s overall reputation) will guide your choice. And, if you’re like me, once this happens you can expect your phone’s battery to be zapped pretty quickly. As far as industry giants go, Spotify and Deezer are among the most conventional and efficient options out there. Tidal—owned by Jay-Z and Beyoncé—comes in third. According to the powerhouse couple, it was developed by and for artists (yeah right…). Other notable options are Napster, Google Play Music, Apple Music and Amazon Music Unlimited. Among the less mainstream apps that tend to favour the artists over the industry, Soundcloud is one of the major players, although its policies have changed slightly over time. The same applies to Bandcamp, which has always put forward more independent productions and been quick to add new emerging artists. Enjoy the web-based version of these music players, or add them to your mobile. Get them from the App Store or Google Play. Obviously, there is no need to reinvent the wheel, and after trying out some apps that pride themselves on being more “underground,” one quickly comes back to the basics. You can trust me on that one. ¯\_(ツ)_/¯ Videotron clients, here is the only music app you’ll ever need There are so many apps for music buffs that it’s easy to lose your bearings. Stingray Music stands out by combining performance and an impressive musical variety curated free of charge. So what’s the catch? There is none. Stingray Music is a Videotron partner, so the app is included with all TV or mobile subscriptions and you automatically have access when you buy a mobile phone with Videotron. Get Stingray Music at the App Store if you have an iOS device. Get Stingray Music on Google Play if you power on Android. Clients with a Videotron mobile plan can take advantage of exclusive and easily accessible channels. These feature Quebec artists, as well as exclusive content produced by Videotron’s various partners, and themes that have a unique local flavour. Suffice it to say that Stingray Music channels offer you the perfect soundtrack for any occasion and you can access them wherever and whenever you want! All you need to do is download the app from the App Store or Google Play to the device of your choosing. Then you’ll be all set to take advantage of over 2,000 music channels. Without getting into too many technical details, Stingray Music includes a number of specially designed features that create a super intuitive and personalized listening experience—and that, my friends, is something we all want. Become a fountain of knowledge thanks to the millions of online podcasts Finally, since you also enjoy learning about new things, let’s talk about podcasts. Based on the simple principle of information on demand, podcasts allow you to easily and instantly access audio and video content through the Internet. These can include your favourite radio or TV shows as well as content produced solely for the purpose of being shared in podcast format. Podcasts can take pretty much any shape or form and cover an infinity of subjects. Science, sports, tourism, video games and cooking are only a few examples. Not to mention the fast-growing trend of podcasts focused on culture, which can teach you more about history, politics and geography, help you learn a new language or discover encyclopedia-style facts. As with music, choosing an app for podcasts can be overwhelming. You’ll probably have to do some research to find the right match for you, not only in terms of content, but also interface-wise. Generally speaking, Podcast Addict and Podcast Republic are pretty much the top choices if you have an Android device. For iOS, top marks go to Overcast, Pocket Casts or Castro. But hey, that’s just one guy’s opinion! Happy listening!5,5 kVues0like0CommentaireEt vous, c’est quoi vos applis audio ?
Si la radio de type hertzienne se retrouve depuis quelques temps dans une posture tristement délicate, les nombreuses applications et autres plateformes de diffusion audio offertes en ligne, quant à elles, se multiplient jour après jour. En élargissant la diversité du contenu proposé ainsi que la manière de le faire, les alternatives proposées pour palier à l'essoufflement de la bande FM deviennent de plus en plus efficaces. Elles jouent sur la singularité de l'expérience utilisateur, applications mobiles autant qu’interfaces navigateur accessibles depuis votre écran d’ordinateur. Au-delà de l’abondance du choix de ce qu’il est possible de donner à vos oreilles, ces plateformes ont su générer de nouvelles façons de consommer de l’audio en s’adaptant de manière toujours plus intuitive et personnalisée. Déplacements en transport en commun, séances de sport au YMCA, chill pré-dodo ou après-midi pas très fun devant un fichier Excel… À chaque circonstance son contenu et souvent, à chaque contenu son interface. Qu’il s'agisse du nouvel album de votre artiste préféré ou de l’histoire du règne de Napoléon 1er, d’une playlistqui suinte le soleil et vous fera oublier que l’hiver est loin d'être terminé ou encore des secrets de la tarte saumon-ricotta qui fera de vous le Ricardo de votre bande d’amis, ces contenus, aussi différents soient-ils, n’ont jamais été aussi simples d’accès. Il suffit juste de savoir ce que l’on veut et où chercher. Toute la culture musicale du monde et tout ce savoir inépuisable, allant du sujet le plus mainstream au plus niché, sont disponibles en deux effleurements d’écran. La seule condition: avoir un téléphone intelligent, une paire d’écouteurs et une application qui coûtera tout au plus une misérable poignée de dollars - quand celle-ci ne sera pas gratuite. Le Streaming Musical, difficile de passer au travers! À l’heure actuelle, il existe des centaines de plateformes de musique en continu et bien qu’elles semblent (presque) toutes identiques lorsque l’on veut juste écouter de la musique, certaines sont plus accrocheuses que d’autres et possèdent leurs petites spécificités. Des spécificités techniques comme: la taille et la diversité du catalogue, la possibilité d’importer sa propre musique, la possibilité de payer via son forfait mobile, l’abonnement “famille” (même abonnement, plusieurs comptes), la qualité sonore (plutôt FLAC ou MP3, plutôt 160 ou 320 kbps)… … Ces détails, autant que le bouche à oreille, feront la différence et qui joueront un rôle crucial dans le choix de l’appli qui croquera, soyons francs, une bonne partie de votre batterie de téléphone. Parmi les plus classiques et efficaces, on retrouve forcément les deux pontes Spotify et Deezer. Vient ensuite Tidal, qui selon ses propriétaires, le couple intergalactique Jay-Z / Beyoncé, est pensée par et pour les artistes (ouais...ouais…). On peut également citer Napster, Google Play Music, Apple Music et Amazon Music Unlimited. Écoutez votre musique en ligne ou téléchargez les applications de ces lecteurs sur votre appareil mobile. Visitez l’App Store ou Google Play. Dans un registre un peu moins grand public et qui tend plus en faveur des artistes et non de l’industrie, Soundcloud pourrait être une des majeures, bien que les politiques de la plateforme aient un peu changé. De même pour Bandcamp qui a toujours mis de l’avant les productions un peu plus indépendantes, et a toujours été prompte à la découverte. On ne réinvente certes pas la roue, mais après avoir laissé sa chance à des applications qui se voulaient un peu plus «underground», on en revient vite à la base, croyez-moi. ¯\_(ツ)_/¯ Clients Vidéotron, voici l’application de musique en continu qu’il vous faut Lesapplications musique pour les mélomanes, il y en a tellement qu’on s’y perdrait. Stingray Musique se distingue en alliant performance et variété musicale étoffée gratuitement. Le bon plan dans tout ça? Elle est partenaire de Vidéotron. En effet, l’appli Stingray Musique est incluse avec chaque abonnement télé ou mobile et elle est offerte automatiquement lorsque vous achetez un mobile chez Vidéotron. Téléchargez Stingray Music depuis l’App Store si votre avez un appareil iOS. Téléchargez Stingray Music sur Google Play si vous êtes avec Android. Les abonnés aux forfaits mobiles Vidéotron peuvent profiter de chaînes exclusives et faciles d’accès. Ces chaînes, qui mettent entre autres de l’avant le talent québécois, offrent également du contenu exclusif venant des différents partenaires Vidéotron et des thématiques bien de chez nous. Autant dire que les chaînes Stingray Musique vous proposent la trame sonore parfaite quelle que soit l’occasion, partout et en tout temps! Il vous suffit de télécharger l’appli depuis l’App Store ou sur Google Playpour profiter de plus de 2000 chaînes de musique et les syntoniser sur la plateforme de votre choix. On ne rentrera pas dans les détails techniques, mais les nombreuses fonctionnalités bien pensées permettent une écoute super intuitive et personnalisée et ça, ça fait plaisir. Instruisez-vous à l’infini grâce aux millions de Podcasts dont regorgent les Internets Enfin, comme vous aimez également vous instruire et apprendre des tas de choses, pourquoi ne pas parler Podcast? Partant d’un principe résolument simple, à savoir l’information à la demande, le Podcast permet d'accéder à du contenu audio et vidéo en différé via Internet, provenant aussi bien de vos émissions de radio et de télé favorites que de contenu produit à cet effet. On y trouve de tout sur tout : science, sport, tourisme, jeux vidéo ou cuisine par exemple. Sans oublier la dimension culturelle qui est en plein boom: histoire, politique, géographie, cours de langues, encyclopédie... Et, comme c’est le cas pour les applications purement musicales, le choix d’applications pour dénicher vos Podcasts peut sembler déstabilisant. Il vous faudra donc probablement faire un minimum de recherche pour trouver votre bonheur - qui se trouve forcément quelque part - en termes de contenu/sujet mais aussi d’interface. D’après la tendance générale, disons que Podcast Addict et Podcast Republic sont les références Android. Pour IOS, la palme revient plutôt à Overcast, Pocket Casts ou Castro. À mon humble avis! Bonne écoute!23 kVues1like1CommentaireIs your child ready for screen time?
How parents can get it right. Screens are everywhere. They cut across all social classes and all lines of work. From morning to night—and sometimes night to morning—electronic devices keep us connected and informed. It’s gotten to the point that we can’t imagine living without them. We’ve become reliant on things like an electronic agenda, software and apps, video games, Netflix, selfies, online vacation bookings and digital newspapers. And that’s just the tip of the iceberg! Whether it’s for work or play, entertainment or convenience, we access a wide range of highly visual and interactive content through our smart TVs, laptops, mobile phones and tablets. Like it or not, the digital era isn’t going to go away. But the issue gets a lot more complicated when it comes to kids. We’re all aware of the risks of overusing or misusing electronic devices and, as parents, we all want what’s best for our kids. According to current guidelines, children should be encouraged to use digital technology appropriately. Otherwise they may feel frustrated or excluded from interactions with friends and family. Clearly, you don’t want to hinder their development or leave them wondering why you have access to electronics while they don’t. To make sure kids use screens responsibly, parents need to set clear rules and time limits. Need a hand with Digital Education 2.0? Here are a few pointers: First, figure out what worries you about letting kids use digital devices. Is it exposure to violence, wasted time, reduced creativity, eating disorders, a sedentary lifestyle, screen addiction, anxiety, social conflicts or falling grades? Next, seek out information on the topic by browsing the Internet, reading articles, talking to other parents who have already been through this or consulting with a professional. The “3-6-9-12” rule, developed by French psychiatrist and psychoanalyst Serge Tisseron, has been widely embraced by young parents. In a nutshell, it recommends: No TV before age 3. No video games before age 6. No unsupervised Internet use before age 9. No social media before age 12. Before you lay down rules, talk to your kids to find out why they’re interested in using electronic devices. This will give you a better idea of their relationship with screens and what they hope to get from using a tablet, mobile phone or television. Typically, kids think that screens can offer opportunities for escape, learning, entertainment, freedom and social connections. Once you’ve clarified what their needs are and what benefits they’re looking for, you can establish rules to ensure that your child maintains a healthy and balanced relationship with screens. When using a device for the first time, children should not be left to navigate the experience alone. Television and the Internet can be great, but they also provide access to images and messages that aren’t suitable for kids. That’s why it’s important to sit with your son or daughter when they watch TV for the first time. Familiarize yourself with the parental controls on internet-enabled devices and make sure you install a family-friendly search engine to block content that’s not suitable for your child’s age. Kidoz, Webjuniors, Xooloo and Wikimini are good choices. Finally, limit your child’s access to screens and establish clear time limits for using them. This is very important. For example, consider creating a weekly schedule that outlines the days and time periods that your kids are allowed to use electronic devices. Rules are also needed for playing electronic games, watching movies and using the Internet or social media. It may also be a good idea to create a separate user account for your child, with you as the administrator. Don’t forget to configure the parental controls to ensure that your usage limits are respected. In 2019, living without screens is unrealistic. The key is to strike a balance so that your kids can enjoy the benefits of digital devices while developing a healthy relationship with screens. And remember, you’ve got to set a good example! Looking for a new tablet? Get a Samsung tablet and a 3 Gb Tablet plan for $0, with a subscription to 2 Premium Mobile plans (each with a 24-month agreement) and the purchase of 2 Samsung phones.6,2 kVues0like0CommentaireVotre enfant est en âge de passer ses premiers moments devant les écrans ?
Voici quelques conseils pour l’accompagner. Les écrans sont omniprésents dans nos vies, peu importe notre statut social ou notre occupation. Du matin au soir — et parfois même pendant la nuit —, ils gèrent nos moindres mouvements et nos activités au point d’être pratiquement devenus indispensables. Agenda électronique, logiciels et applis, jeux vidéo, plateforme de visionnement en continu (comme Netflix), égoportraits, plateforme de réservation de tout-inclus ou lecture de journaux ne représentent qu’une petite partie des ressources visuelles et interactives qui nous sont offertes. Ces contenus s’affichent sur nos télés intelligentes, nos ordinateurs portatifs, nos cellulaires et nos tablettes, et ils nous divertissent tout en nous rendant la vie plus facile. On les aime autant qu’on les déteste et on ne peut plus s’en passer. Cependant, lorsqu’il s’agit de laisser nos enfants avoir accès à des appareils, l’enjeu n’est plus le même, et les discours à propos des dangers d’une utilisation abusive abondent. Vous êtes de bons parents, et le bien-être de vos enfants vous tient à cœur. C’est pourquoi il est conseillé d’encourager votre enfant à évoluer sainement dans notre monde numérique, en évitant de générer des frustrations ou même un sentiment de rejet au sein de son groupe d’amis et de la famille (pourquoi y avez-vous accès et pas lui ?) qui pourraient constituer des entraves à son épanouissement. Cela dit, instaurer des règles pour établir un temps d’écran modéré et responsable pour votre progéniture est une excellente initiative. Pour vous aider dans cette mission éducative2.0, voici cinq conseils praticopratiques: D’entrée de jeu, il est très important de définir vos craintes quant aux répercussions d’une exposition des enfants aux écrans: violence, perte de temps et de créativité, trouble de la nutrition et répercussions sur la santé, accoutumance, baisse des résultats scolaires (si l’enfant est en âge d’être affecté à cet égard), anxiété ou difficulté sociale. N’hésitez pas à vous informer sur le sujet en consultant Internet et diverses revues, en parlant à vos amis parents qui ont déjà été confrontés aux mêmes enjeux ou en discutant avec un professionnel. La règle des « 3-6-9-12 », élaborée par le psychiatre et psychanalyste français Serge Tisseron, est une méthode qui a largement fait ses preuves auprès des jeunes parents. En résumé, voici ce que le spécialiste préconise: Pas de télévision avant 3 ans Pas de jeux vidéo avant 6 ans Pas d’Internet seul avant 9 ans Pas de réseaux sociaux avant 12 ans Avant de fixer des règles d’utilisation, il est nécessaire de cerner les besoins de vos enfants et de considérer ce que les écrans peuvent leur apporter. Une discussion avec eux vous permettra donc de mieux comprendre la relation de votre enfant avec les écrans et les besoins qu’une tablette, un cellulaire ou la télé peuvent combler. Les présumés bienfaits d’un accès aux écrans peuvent inclure, entre autres, le rêve, les apprentissages, la tranquillité, la liberté et les liens sociaux. Une fois les besoins et les bienfaits clarifiés, vous aurez en main les éléments-clés pour fixer vos règles et permettre à votre enfant de vivre une relation saine et équilibrée avec les écrans. On ne laisse pas un enfant faire ses premiers pas tout seul devant un écran. L’Internet et la télévision sont formidables, mais ils véhiculent beaucoup d’images et de messages qu’un enfant ne devrait pas voir. Il est donc important de l’accompagner lors de ses premiers contacts virtuels et télévisuels. Familiarisez-vous avec le contrôle parental de vos appareils et installez un moteur de recherche approprié sur tous ceux qui offrent un accès au Web. Les moteurs de recherche filtrent le contenu pour ne laisser passer que ce qui est adéquat, selon l’âge de l’enfant. Kidoz, Webjuniors, Xooloo ou Wikimini en sont de bons exemples. Dernière étape, l’une des plus importantes: limitez l’accès aux appareils de la maisonnée et fixez un temps d’utilisation pour chacun. Vous pouvez, par exemple, décider d’un temps d’écran par semaine, en fixant les jours et les moments de la journée où vos enfants sont libres d’accéder aux appareils, selon leur âge. Vous pouvez également établir des règles de visionnement et d’utilisation pour les jeux, les films, l’Internet et les réseaux sociaux. Enfin, n’hésitez pas à créer une session personnalisée pour votre enfant (dont vous serez le gestionnaire) et n’oubliez pas de configurer le contrôle parental pour que vos critères d’utilisation soient respectés. Vivre loin des écrans est presque irréaliste en 2019. L’important est de faire la part des choses et de permettre à vos enfants de s’épanouir en développant une relation saine avec les écrans. Et n’oubliez pas de leur donner le bon exemple !15 kVues0like0Commentaire